PLZ

Bah c'est pas le bon endroit mais osef ^^ Voila jdois faire une nouvelle de merde .... et j'ai plus dider !!!!
Quelqu'un auraitdes suggestion ... Mon texte est un peu pouri mais je suis nul en FR ...


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Jean-François, de la prospérité à la misère :

Jean-François DE BOURGOGNE, était un jeune homme de vingt ans. Il avait reçu une éducation très noble. Il était intelligent, malgré quelques difficulté de compréhension. Il était plutôt beau. Ses cheveux était brun mi-long, il avait des yeux vert, un petit nez d'une couleur rougeâtre, et de grosse joue. Il était de plus assez grand, et plutôt enrobé.
Ses parents, Philippe et Mariline, l'aimaient beaucoup. Ils étaient riche, grâce à leurs inventions diverse qui occupé le monde entier.

Jean-François, admirait beaucoup ses parents, c'est pour cela qu'il décida de devenir chercheur. Les inventions ne l'avais jamais trop passionné, mais il espérait bien, faire une trouvaille hors du commun, pour impressionné ses parents. Ses parents approuvaient entièrement ce choix de carrière, et l'encourageaient du mieux qu'il pouvait. Il alla dans les meilleurs école, étant donné que Jean-François était riche. Il finit ses étude un peu tardivement, et commença ses recherches a l'âge de vingt-huit ans.

Lorsqu'il commença ses recherches, il ne su pas vers où s'orienter. Il décida de trouver un vaccin contre le sida. Ce virus le fascinait, il se dupliquait encore et encore, sans jamais avoir de faille. Il ne craignait aucun vaccin ni remède. Son défit était lancé, prouvé à ses parents l'étendu de ses capacités.

Il étudia pendant de long mois, comment était constituer ce virus, pourquoi il se dupliquait, et comment il prospérait.
Il ne trouva pas toutes les réponses, mais eu assez d'éléments pour ses recherches. Jean-François travaillais seul, il n'avez pas confiance envers les autres. Il s'acheta un local, avec tout les équipements nécessaire, et " courut " vers la gloire. Il rêvait, de trouver la solution, mais il ne la trouvais pas assez vite. Il était trop impatient. Ses recherche avait commencer depuis deux ans, mais il ne trouvait rien.

Jean-François ne se lésa pas abattre, et continua ses recherches. Cette fois-ci, il ne renoncerait pas. Il investissait tout son argent, dans ce travail qui le passionné tellement. Il se répétait constamment, " il faut que je trouve, je deviendrais célèbre, et je pourrais montrer au monde entier, qu'elle cerveau je suis ! "
Ces recherches continuait, inlassablement, et sans aucune trouvaille.

Cinq ans plus tard, monsieur DE BOURGOGNE, exposa sa thèse, sur le moyen de transformation du virus. Il fut acclamé, et donna un élans à cette recherche qui était bloqué. Alors même que cette gloire nouvelle était apparut, les parents du Scientifique, se furent assassiner.

Jean-François était désespéré, tout ce qu'il avait entrepris dans sa vie, il l'avais fait pour l'honneur et le respect de sa famille. Il n'avais plus personne sur qui se reposer. Il maudissait sa nouvelle gloire, on le voyait apparaître sur tous les journaux, pleurant. Il regrettait désormais, de ne pas avoir passer plus de temps, avec ceux qu'il chérissait tant. Il n'y était pour rien, mais il s'en voulait. Jean-François devint alors énigmatique. Il avait soudainement perdu la parole, il essayait pourtant de parler, mais aucun son ne sortait de sa voix. Il saccagea son bureau, voulant tout détruire sur son passage.

Ce soir là, Jean-François était triste, démoralisé, sans vie, lasse, la tête vide. Il regardait la télé, comme un zombie, et remarqua qu’il en avait mare de la vie. Il regarda autour de lui, pris un revolver, caché sous la table basse, pensa à tous ces moment de bonheur, et ce dit que c’était bête. Mais il pensa soudainement à la mort de ses parents, au enfant qui ne l’aimait pas à cause de sa richesse … Il ne réfléchissait plus, pleurait. Il se mit à genoux, pria dieux, pour retrouver ses parent et tira un grand coup sur la gâchette. Le coup partit d’un coup. Jean-François, tomba net, sur le sol.

Il se réveilla un matin sur un lit d’hôpital, sept ans, après sa tentative de suicide. Il était tombait dans le comas. Il voyait flou, l’air qu’il sentait était d’odeur nauséabonde, et tout lui était étrange. Il s’aperçut qu’il avait retrouver la parole, en criant de stupeur « Où suis-je ? ». Une infirmière débarqua à toutes allure, stupéfait de voir le malade se réveillait. Il était pâle comme un mort, crasseux et transpirant, mais il était vivant.

merde, je t'aiderai volontier: j'ai fait uhne réponse du tonnere de zeus qui faisait au moins 50 lignes et pile avant que je poste , l'ordi se déconnecte, les boules et pas envie de le refaire alors je reviens demain et je reposte, courage!

Lol je suis maudit !

je ferai appel a Docteur Ulysse pour t'aider a chercher des idées, mais pour cela il faut que tu nous donne quelque "lignes directrices" comme:
- la nouvelle doit-elle rester dans un cadre réaliste? c'est-à-dire peut-on parler de truc qui n'existe pas et qui sont impossible (type science-fiction ou autres)
-y a t'il une époque obligatoire? sa doit obligatoirement se passer dans le présent ou dans un passé ou futur proches? ou alors est-ce que tu es libre a ce niveau la? (genre a tu le droit de faire se dérouler l'histoire en 45646514 après J-C?)
-bref, donne nous les consignes en détail de ton devoir, sinon on peu pas t'aider.

a par sa, un vaccin contre le sida a déjà été inventé....si si je le jure!

nn c faux, il n'y a aucun vaccin contre le virus du sida ni de traitement capable de guerir du sida, on peu juste en freiner les effet en prenant un trentaine de medicament par jour, autant dire que c'est un traitement tres lourd.

Si ma connaissance est bonne, les médicaments pris ne sont pas contre el sida lui même mais contre les éventuelles maladie qu"on pourrait attraper à cause du VIH

oui c ca, c pour renfocer ton immunite qui est detruite pour le virus, ca ralonge un peu ton esperance de vie mais c tres dur de prendre ce traitement.

J'avais cru comprendre le contraire, autant pour moi. c toujour bon a savoir.

sinon, BONJOUR!!!!!!!!!!!!!!! je vous ai épargner pendant une semaine mais je vais me rattraper!!!

a part sa, ghost tu n'a toujour pa écrit les consignes de ton devoir alors comment veut tu qu'on t'aide?

J'sais plus si j'ai mi le texte final mais si vous devez faire une nouvelle réaliste bah ... (si vous voulez pas bosser) prenez ca !!




Jean-François, de la prospérité à la misère :

Jean-François DE BOURGOGNE, était un jeune homme de vingt ans. Il avait reçu une éducation très noble. Il était intelligent, mais ne connaissait encore rien à la vie. Il était plutôt beau. Ses cheveux étaient brun mi-long, il avait des yeux vert, un petit nez, et de grosse joue. Il était de plus assez grand, et plutôt enrobé.
Ses parents, Philippe et Mariline, l'aimaient beaucoup. Ils étaient de grands inventeurs, et leurs inventions était très réputées.

Jean-François, admirait beaucoup ses parents, c'est pour cela qu'il décida de devenir chercheur. Les inventions ne l'avaient jamais trop passionnées, mais il espérait bien, faire une trouvaille hors du commun, pour impressionné ses parents. Ils approuvaient entièrement ce choix de carrière, et l'encourageaient du mieux qu'ils pouvaient. Il alla dans les meilleurs écoles et, finit ses études un peu tardivement. Il commença ses recherches à l'âge de vingt-huit ans.

Lorsqu'il commença ses recherches, il ne su pas vers où s'orienter. Il décida de trouver un vaccin contre le sida. Ce virus le fascinait, il se multipliait encore et encore, sans jamais avoir de faille. Il ne craignait aucun vaccin ni remède. Son défit était lancé, prouver à ses parents l'étendu de ses capacités.

Il étudia pendant de long mois, comment était constitué ce virus, pourquoi il se dupliquait, et comment il prospérait.
Il ne trouva pas toutes les réponses, mais eu assez d'éléments pour ses recherches. Jean-François travaillait seul, il n'avez pas confiance envers les autres. Il s'acheta un local, avec tous les équipements nécessaires, et " courut " vers la gloire. Il rêvait, de trouver la solution, mais il ne la trouvait pas assez vite. Il était trop impatient. Ses recherches avaient commencé depuis deux ans, et il n'avait encore aucun résultat.

Jean-François ne se laissa pas abattre, et continua ses recherches. Cette fois-ci, il ne renoncerait pas. Il investissait tout son argent, dans ce travail qui le passionné tellement. Il se répétait constamment, " il faut que je trouve, je deviendrais célèbre, et je pourrais montrer au monde entier, quel cerveau je suis ! "
Ses recherches continuaient, inlassablement, et sans aucune trouvaille.

Cinq ans plus tard, Monsieur DE BOURGOGNE, exposa sa thèse, sur le moyen de transformation du virus. Il fut acclamé, et donna un élan à cette recherche qui était bloqué. A l'apogée de sa gloire, ayant enfin prouvait l'étendu de ses capacités, ses parent furent assassinés.

Jean-François était désespéré, tout ce qu'il avait entrepris dans sa vie, il l'avait fait pour l'honneur et le respect de sa famille. Il n'avait plus personne sur qui se reposer. Il maudissait sa nouvelle gloire, on le voyait apparaître sur tous les journaux, pleurant. Il regrettait désormais, de ne pas avoir passer plus de temps, avec ceux qu'il chérissait tant. Il n'y était pour rien, mais il s'en voulait. Jean-François devint alors énigmatique. Il avait soudainement perdu la parole, il essayait pourtant de parler, mais aucun son ne sortait de sa voix.

Ce soir là, Jean-François était triste, démoralisé, sans vie, lasse, la tête vide. Il regardait la télé, ne pensant à rien, et ayant marre de la vie, regarda autour de lui, soudain, pris un revolver, caché sous la table basse, pensa à tous ces moments de bonheur, et ce dit que c'était bête. Mais il pensa soudainement à la mort de ses parents, et à tous ces anciens problèmes ... Il ne réfléchissait plus, pleurait. Il se mit à genoux, pria dieux, pour retrouver ses parents et appuya sur la gâchette. Jean-François, tomba net, sur le sol.

Sa tentative de suicide, fut manqué. Il se réveilla un matin sur un lit d'hôpital, sept ans après. Il était tombé dans le comas. Il voyait flou, l'air qu'il sentait était d'odeur nauséabonde, et tout lui était étrange. Il s'aperçut qu'il avait retrouvé la parole, en criant de stupeur " Où suis-je ? ". Une infirmière débarqua à toute allure, stupéfaite de voir le malade se réveiller. Il était pâle comme un mort, crasseux et transpirant, mais il était vivant.

Jean-François, bondit de son lit, et, ses jambes ayant à peine effleuré le sol, il tomba net. Celle-ci ne soutenait plus son poids. Alors, une série d'interrogations, avec l'infirmière commença.
- Mais, où suis-je donc ? Suis-je au paradis ?
- Non bien sur, vous êtes a l'hôpital. Répliqua l'infirmière.
- A l'hôpital, je ne suis donc pas mort ? Et qu'est-ce que c'est que tout cela ?
- Et bien, voyez vous Monsieur De Bourgogne, vous êtes tombé dans le comas pendant sept longue années, et vous venez de vous réveillez.
- Quoi ? Mais non c'est impossible, baliverne ! J'ai utilisé un revolver, je n'ai pu survivre.
- Voyez par vous même, vous n'êtes pas mort.

La conversation, perdura pendant de longues heures. Jean-François ne dormit pas ce soir là, trop anxieux, de ne plus se réveillait une seconde fois. Il demanda à ce qu'on lui apporte des journaux, pour ce faire une idée, des informations, et du monde d'aujourd'hui.

Il resta de long mois à l'hôpital, pour son rétablissement. Il faisait beaucoup d'exercices pour pouvoir remarcher, et lorsqu'il n'était pas en rééducation, il lisait.

Il sortit donc, de l'hôpital, après de longues épreuves, une canne à la main, et la tête pleine d'envie.
La première chose qu'il fût, fut d'aller voir son banquier. Celui-ci l'accueillit, gentiment, et annonça d'un ton autoritaire, qu'il était ruiné. Il lui expliqua que, les brevets des inventions n'ayant pas été maintenu, ces revenus était nul, et comble de ses malheurs, tout l'argent qui lui restait avait servit à payer l'hôpital.

Il sortit de la banque, inquiet de se qu'il allait devenir. Il divagua dans les rues. Il s'assit, près d'un arbre, et dormit ce soir là à coté de celui-ci. Le lendemain, Jean-François ne bougea pas, et certain passants lui jetaient une petite pièce. Il continua comme ca toutes sa vie, appuyé sur son arbre. Jean-François mourut, quelques mois plus tard, à cause de la vague de froid qui s'était abattu sur la France cet hiver.

snif, cest triste ton histoire

Mouhahahahaa

lol.
c pa la joie ton histoire.